Elles sont utilisées principalement pour traiter les troubles dans lesquels des substances corporelles sont rejetées anormalement, ou des structures dans le corps s’échappent de leur position.
Ce types d’herbes traitent seulement les manifestations du trouble, pas la racine du problème. Pour être utile, elle devront être associées avec d’autres herbes qui traiteront la racine, qui est le plus souvent un vide.
Les herbes de cette catégorie retiennent et nouent par nature, elles sont donc inappropriées pour traiter les cas où un trouble extérieur est toujours présent, ou lorsqu’il y a une stagnation d’humidité ou une chaleur due à une surpression du foie. L’utilisation de ce type d’herbes dans de telle situations peut prolonger, voire aggraver, le trouble sous-jacent.
Le ginkgo est l’un des meilleurs exemples de fossile vivant. La plante est originaire de plus de 270 millions d’années et est cultivée en Chine depuis au moins 2600 ans av. J.C.
Le Ginkgo biloba est la seule espèce vivante de la division Ginkgophyta, tous les autres sont éteints. Ce sont de grands arbres pouvant atteindre entre 20 et 30 m de hauteur. Cet arbre est profondément enraciné avec une couronne angulaire qui s’élargit à mesure que l’arbre mûrit.
La graine d’Euryale est intéressante pour les troubles engendrant des « fuites » au niveau génital et urinaire ainsi que contre la diarrhée chronique.
La graine de lotus – Semen Nelumbinis Nuciferae, se nomme en chinois Lian Zi (Lián Zǐ; 莲子). Sa saveur douce et sa nature neutre lui permet de tonifier, tandis que son autre saveur, astringente, fait en sorte de retenir ce qui sort du corps de manière excessive.
Lian Zi nourrit le cœur et rétablit la communication harmonieuse entre le cœur et les reins.
La graine de lotus a été appréciée pour ses vertus thérapeutiques depuis les premiers textes de matière médicale chinoise.
Voici des baies constituées en grappe, comme le raison, ayant d’excellentes propriétés mais hélas, peu connu chez nous.